Petit Nuage de Lait

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Je ne croyais pas si bien dire dans la note précédente…

Une des plus belles nouvelles qui pouvaient nous arriver, inimaginable il y a encore 2 jours vu que je n’en avais même pas encore formulé la pensée…

Encore un clin d’œil, un coup de pouce de l’après qui me dit :

« tu vois, n’aies pas peur de venir vers moi, tant de belles choses peuvent arriver, pour compenser… »


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Pour une fois agréables.

- De l’idée d’une simple démarche peuvent en découler d’autres que l’on ne s’attendait pas à faire

- Cette première démarche peut révéler un espoir insoupçonné

- Une épreuve difficile peut être la cause directe d’une succession de perspectives d’avenir plus prometteuses

En résumé :

Après, c’est pas forcément pire, au contraire, il suffit d’oser…

Bon, je le savais déjà, mais au moins, aujourd’hui, je mets le doigt dessus.



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J'aimais PetitNuage du 20six d'avant, mes rubriques, mes coups de coeur ou de nerfs, mes réactions, mes émotions ; j'aimais ce petit journal. Mais tout cela est bien loin... moins de temps, moins de disponibilité d'esprit (hélas) et beaucoup d'eau sous les ponts...

Aujourd'hui...
Nouveau départ,
Nouvelle vie,
et... Nouveau blog (?)... Envie, besoin de parler. Mais je manque de temps... alors...
Tss Tss... Laisser venir les choses...


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AU SECOURS !


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Il y a moi
Parce que chaque jour, chaque étape, apporte son humiliation supplémentaire
Parce que les périodes de rémission sont de plus en plus courtes
Parce que j’encaisse de plus en plus difficilement
Parce que je me relève de moins en moins bien
Parce que je ne veux plus supporter l’intolérable, l’exécrable, l’odieux
Parce qu'il est inadmissible d'être sans cesse accusée à tort de tous les maux
Parce que je ne veux pas payer à tout bout de champ et pour n'importe quoi des erreurs passées
Parce que la mauvaise foi faite homme n’est plus supportable

Il y a eu eux
Parce que je ne veux plus accepter l’inacceptable
Parce qu’aucun enfant, jamais, n’a le droit d’être traité ainsi
Parce que prétendre vouloir éduquer sans le moindre dialogue, la moindre communication, sans un minimum de psychologie et de pédagogie est criminel
Parce qu’il n’y a plus qu’un Tout Petit Homme qui échappe encore à sa Méchanceté
Parce que tout cela n’a AUCUNE justification, JAMAIS


Parce que, toujours...
...la facilité de se poser en victime...
… le refus de toute responsabilité…
… la négation de la moindre carence…
...ce ne peut être la faute que de la mère...
… l’absence totale du moindre questionnement…


Parce que, jamais...
… la moindre excuse…
… la plus minime remise en question…
...la poutre dans son oeil mais seulement la paille dans celle du voisin...



Parce que tout cela est absolument insupportable

Parce que je ne veux pas perdre la raison en me heurtant sans cesse à l’aberration



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... au milieu du marasme actuel et d'un emploi du temps plus chargé qu'il ne faudrait pour que je m'en sorte moralement et physiquement :

Le gîte est loué pour Pâques

et

surtout... Il a eu son code !!


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Bon anniversaire, ma Petite Poulette d'Amour...

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Je me traîne et je n’assume pas.
J’ai du temps libre. Pas mal de temps libre, plus que je n’en avais il y a encore quelques semaines. Il me tardait ces journées entières disponibles.

Et je ne fais rien. Presque rien.

Je maintiens à jour la tenue de la maison. Vaguement.
Et je me traîne.

Je suis en mode « hors gel ». Comme les radiateurs.
J’ai des journées entières devant moi, et je suis incapable d’en profiter pour lancer de grands -ou même de petits- chantiers.
Je reste dans le séjour de la maison des enfants, avec l’ordi sous le nez et France Inter en fond, un bout de bois dans la cheminée pour pas que ça chute trop. C’est la seule pièce où il fait bon. Pas le matin quand on se lève. 14° ce matin (Ce qui est quand même + que chez moi ou chez leur père).

Je n’ai aucune envie de bouger. Il fait froid. Il fait gris. Il fait pourri.
Aller faire les courses une fois par semaine me fout la flemme, alors pour ce qui est d’aller se balader en ville pour préparer Noël, n’en parlons même pas.

Le pire (si on peut appeler ça le pire), c’est que je ne suis pas déprimée. Enfin pas trop. Je vais. Ni mal, ni très bien, je vais. Je subis les soucis financiers, professionnels, familiaux. Je tourne au ralenti. Je fuis la famille et les proches.
Je me traîne, et ça m’agace. Parce qu’il y en a, pourtant, des choses à faire …

Et en plus je me plains ! ah ah
Et en plus j’en fais profiter tout le monde. (Heureusement que plus personne ne me lit)

Le pire c’est que je crois que je ne me botterai même pas le derrière pour que ça change : c’est l’hiver et je vais continuer d'hiberner.

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Il aura 6 ans en octobre, et ce soir il a sa première "dent qui bouge".
Ca a beau être le 3ème, ça reste tout de même très émouvant !

Bon anniversaire, Vincent...



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Je suis entre guillemets, et je mets tout entre parenthèses.



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Un pèlerinage, qu’il disait.
Non. Pas de pèlerinage.
C’est du passé. Et une fois l’évènement terminé, on passe à autre chose.
Bon, bien sûr, juste après, une période de flottement, parfois un peu de tristesse, le temps de tourner la page. Chaque passage dans la vie crée un remous, et laisse une trace. Normal, hein. Une trace plus ou moins marquée, plus ou moins tenace. Celle-ci s’est très vite estompée.
Pas de regrets, pas de remords, mais aucune nostalgie non plus.
Et quand les souvenirs liés directement à la personne s’effacent il reste le cadre, les souvenirs du lieu.
Et en l’occurrence, le lieu est quand même plutôt sympa et dépaysant, pour une ‘tite escapade…



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Je l'ai fini.
Quelle émotion, c'est la première fois que je ressens cela.
Je l'ai fini et je l'admire. Surprise et émerveillée ; je n'imaginais pas un tel résultat. J'avais en tête ce que je voulais atteindre. Mais l'image restait forcément vague, surtout qu'en m'y mettant à nouveau après des semaines de désertion, je ne savais pas du tout que j'allais le terminer le jour-même, je ne savais même pas encore quelle association de couleur j'allais choisir en m'attablant. Et le résultat dépasse tous mes espoirs de "presque débutante".
Après les prochains, je le trouverai peut-être nul, fade, inabouti... Sans doute même.
Je sais que de toute façon ce n'est qu'une étape. Mais déjà, des points communs avec les autres, des techniques propres, un style peut-être ?
N'empêche que ce soir je cerne un peu mieux cette patte qui sera peut-être la mienne, ces gestes que je retrouve de l'un à l'autre, cet aspect final...
Je le regarde et je suis émue. Fière.


Yeeesss !


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Il parait que la Nuit Tsigane est annulée cette année. Je n’ai pas trouvé confirmation de cette info sur le Net. Si cela s’avère, j’en serai triste. J’ai adoré les concerts des dernières, avec ou sans goulasch :-P

Vendredi je suis allée voir Swing.



L’occasion de me remémorer d’autres Tony Gatlif

Après la parenthèse « week-end en amoureux loin de tout », retour aux réalités, place à l’avenir.
Mettre de l’ordre dans ma tête, et c’est pas le plus simple. Ordonner les démarches, ne pas se sentir débordée, ne pas avoir peur de ne pas y arriver.

Prévenir le propriétaire, oralement dans un premier temps.
Faire partir le recommandé pour la fin du mois.
Assurer le premier RDV bancaire, puis le second une semaine plus tard. C’est loooooong…
Après, y voir plus clair. SAVOIR.
Commencer à mettre en cartons toutes les conneries qu’il faut pas jeter mais qui ne serviront à rien d’ici là. Dans le même temps, préparer pour un ou plusieurs vide grenier…
Tout le reste dans un wagon départ déchetterie. Des dizaines de voyages au programme…
Récupérer des cartons. PLEEIIINNN de cartons.
Lister les démarches pour les changements, d’adresse, d’abonnements… encore le temps de les mettre à exécution.
Ne pas oublier d’aller aux ASSEDIC le 1er juin.
Trouver un peu de temps pour continuer, voire finir le tableau en cours. Je sais depuis le début à quoi je veux arriver. J’ai depuis hier un peu plus précisément comment je vais y arriver, les couleurs à choisir, les méthodes à utiliser. Envie de m’y remettre.
Revenir à Arcachon*


* barrer les mentions inutiles :-(



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Il était au moins 23h30 lorsque j’ai enfin senti le sable sous mes pieds. Froid, mais si doux.
J’ai marché en faisant glisser mes pas, pour prolonger le contact. Jusqu’à l’eau. Je me suis arrêtée, j’ai écouté, j’ai regardé l’autre rive, les lumières des ports, la lumière du phare. « Demain, je serai de l’autre côté ». Puis j’ai fermé les yeux, et j’ai écouté à nouveau, en respirant plus fort, en essayant de stocker ce concentré d'odeurs. Ça faisait si longtemps. J’ai retourné les jambes de mon jean, et j’ai marché dans l’eau. Froide. Très froide. Mais tellement vivifiante.
Des éléments dont j’ai besoin et qui me font si souvent défaut.
Une carence comblée ce week-end à la manière d’une gourmandise. Comme j’aurais dégusté par petites cuillerées un fondant au chocolat, mes sens ont savouré le sable, l’eau et le paysage, mon corps les a assimilés mieux qu’une cure de petites gélules vitaminées.
« Recharger les batteries », « faire le plein », disent les expressions consacrées.
Le Bassin d’Arcachon me laisse en état de manque permanent.



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#01. Qui suis-je ?
une égarée dans un monde qu’elle a du mal à faire sien


#02. Qui me connaît le mieux ?
si je le savais, je lui demanderais de me parler de moi


#03. Quel âge ai-je l'impression d'avoir ?
le meilleur jamais atteint


#04. La chose la plus importante dans ma vie est ...
mes enfants (désolée pour la « chose » !!)


#05. Je porte toujours ...
quelques bijoux, et maintenant presque toujours mes lunettes.


#06. Quelque chose que je fais toujours ...
manger ? dormir ? râler ? souffler ? réfléchir ? oui, tiens… réfléchir


#07. Je suis la plus heureuse quand ...
c’est pas une lapalissade, mais : quand je ne « dépressionne » pas.
(ça arrive des fois… si si… )


#08. Le lundi matin, vous pouvez me trouver ...
… lasse !


#09. Mon moyen de transport favori ...
le train


#10. Mes yeux sont ...
bigleux, et curieux


#11. L'objet que je préfère posséder est ...
mon portable


#12. Pour me détendre, j'aime ...
surfer


#13. La ville où j'habite est ...
une étape


#14. Ma plus mauvaise habitude c'est de ...
je dois en avoir plein… peut être de ne jamais lâcher mon portable
(n’est ce pas ?)


#15. Mon plaisir défendu ...
ça veut dire quoi, « défendu » ?


#16. Quand je regarde quelqu'un, la première chose que je regarde c'est ...
ce qu’il porte comme vêtements et chaussures


#17. Je pense que ... est magnifique
le Bassin d’Arcachon


#18. Quelque chose dont je peux me passer ...
aller travailler


#19. Quelque chose que les gens ignorent à mon propos ...
si je le dis, ils ne l’ignoreront plus


#20. Ma vie est ... origine :
il faut faire une phrase en comblant les points de suspension ?

euh… ma vie est bancale d’origine.
Ouais, quelque chose de ce genre.


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Chaque enfant est différent. Ça, c’est pas moi qui l’ai trouvé, mais j’aurais pu, tellement c’est bête. Mais lorsqu’on réfléchit sur les siens, d’enfants, que l’on essaie d’être objectif, malgré un regard voilé d’amour, on se rend compte à quel point c’est vrai. Et à quel point on les aime autant, eux même et les uns par rapport aux autres, comme si leurs défauts étaient justement dosés dans la balance, ou pile contrebalancés par des qualités équivalentes en quantité…


Ils sont différents, tout en se ressemblant. Ils sont différents de leurs parents, tout en leur ressemblant. Encore une banalité, mais c’est un émerveillement de s’y arrêter deux minutes. Les miens, comme tous sans doute, on pris un peu de leur père et un peu de leur mère. A part inégale.


C’est amusant ces vases communicants…


« un peu de lui, un peu plus de moi, et pour compléter le pourcentage, un peu de « qui lui est propre »… ah, tiens, elle c’est le contraire, elle a plus de lui que de moi… et un sacré « qui lui est propre » ! »


Puissent-ils être heureux avec leur hérédité, et ne pas la porter comme un fardeau… comme moi… puissent-ils, si cela devait être le cas, s’en affranchir assez vite, s’en débarrasser et être eux-mêmes, surtout être eux-mêmes…


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J’ai souvent lu ou entendu, ici ou là, des personnes dire qu’elles ne participeraient pas à tel mouvement, telle manif, à cause de la récupération politique.
Evidemment, l’idée de marcher dans le même cortège que l’extrême droite, en l’occurrence à la manifestation née de la mort d’Ilan Halimi, a de quoi rebuter, et le mot est faible.
Est-ce pour se donner bonne conscience d’avoir eu la flemme d’y aller ce jour-là ?
Car récupération politique ou pas, ça change quoi ? ça empêche de montrer notre solidarité et notre refus de la barbarie et/ou du racisme et/ou de l’antisémitisme (non-avérés), et/ou autres causes suivant les cas ?
Qui pourrait en effet se tromper sur les motivations des participants ?
Si tout le monde avait tenu ce même raisonnement, il y aurait eu bien peu de monde (déjà que…).
Ce n’est pas un reproche, une critique (je serais mal placée, je n’y suis pas allée : la manif la plus proche avait lieu à 500 km de chez moi).
Une simple interrogation, née de la réflexion personnelle que, FN et consorts, ou pas, si j’avais pu y aller, ce n’est pas leur présence qui m’aurait empêchée d’épouser les mots d’ordre.


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Ce soir je suis éreintée. Une demi-journée de « repos » ce matin, une demi-journée de boulot à l’extérieur cet après-midi. Je me suis levée tôt, et j’ai fait plein de trucs. Plein de corvées, tâches ménagères, mise à jour dans différents domaines. Je suis assez contente de moi, même s’il me reste plein de choses à faire. Contente, et en même temps tellement fatiguée, lasse, désabusée.
Et d’un coup… la question, récurrente question : et le plaisir dans tout cela ? le temps pour soi ? et pour faire des activités avec Tout-Petit, lui apprendre à se servir des Blopen’s, lire le dernier Pomme d’Api, finir le livre commencé par Papa lundi, faire ensemble une recette de cuisine ?
Quant à la lecture, se poser sur un canapé… et retourner à ma « table de travail » pour peindre ?… même pas la peine d’y penser ! c’est dans mes rêves depuis déjà plusieurs semaines.
L’emploi du temps de la vie c’est 90 % d’obligations, d’horaires, de déplaisirs, de contraintes, de boulot, de prises de tête, de fatigue, de mauvaises nouvelles. Marre.
Ce soir, il faut que je fasse mes comptes, encore, essayer de trouver le moyen d’enrayer l’hémorragie. Ouais, décidemment, que du bonheur.

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Si je vous dis « intégrisme », vous avez forcément l’image d’une personne ou un sujet qui vous vient à l’esprit. Mais l’intégrisme se cache parfois sous des dehors bien engageants et dans des domaines à priori tout à fait convenables.

La liberté des uns commence où s’arrête celle des autres. Jamais la frontière entre les deux n’aura été aussi ténue, jamais les uns n’auront été aussi intolérants envers les autres. Drapés dans leur bonne cause, ils font parfois bien plus de dégâts autour d’eux que de bien pour la cause qu’ils croient défendre, en prenant notamment de mauvaises cibles et de faux problèmes.
On ne cohabite plus. Le « bon voisinage » est une espèce en voie de disparition. La concertation, la compréhension de l’autre et le respect de ce qu’il est et de ce qu’il fait n’est valable que des autres vers soi-même. On veut le rallier à sa cause, qu’on estime la plus juste, au mépris même de ce qu’il est, pense, aime, veut ou peut.
Si on ne peut convertir, on procédurie, on interdit, on éradique. Le tout avec une complète mauvaise foi et une parfaite bonne conscience.

Méfions-nous donc de nous-même et sachons garder un recul sur nos pensées et nos convictions, avant qu’elles ne nous entraînent vers des extrêmes dont nous ne verrions pas les dangers, une fois les œillères installées.

J’ai laissé trois notes en deux jours dans ce blog, alors que je délaissais l’autre. Cela ne veut pas dire que je reprends le fil ici. C’est juste que je ne pouvais pas rester sur un tel désastre. Il fallait qu’au moins devant mes yeux je rattrape un peu le carnage 20six.

Pour le reste…

« …
J'ai ressorti de la naphtaline un vieux blog oublié.

Je n'arrivais décidemment plus à me résoudre à écrire dans celui-ci mes réflexions sur l'avenir, mon cheminement, les changements que j'aimerais mettre en place. Tout cela est bien trop intime et encore tellement en pointillé...
J'ai retrouvé le plaisir d'écrire, de vider la marmite quand ça bout trop sous la perruque...

Il me fallait un autre espace pour cela. Un vrai journal intime tout simplement. »

… 9 janvier 2006…


Et depuis quelques mois, ça bout sous la perruque… depuis des semaines, les choses semblent se préciser, les contours s’esquissent. Des envies, des rêves, un projet. Quelque chose d’inimaginable il y a même pas un an. Quelque chose de grand, quasi utopique. D’enthousiasmant aussi. De revitalisant. C’est le mot juste. Un mot pour une nécessité absolue. Vitale justement.

Un projet pour s’élever un peu au dessus de la médiocrité ambiante, au dessus des peurs qu’on nous instille, au dessus du formatage auquel il est difficile d’échapper, au dessus de la course à la surconsommation. Au dessus de tout ce que je supporte de moins en moins bien.

Pourquoi, comment est ce venu… si vite, après des décennies de végétation… une révélation, une explication à tous ces maux.

Mais quelle forme lui donner, et comment lui donner forme…

celui de droite, hein, pas le p'tit bout en couleurs. (mais pourquoi mes images s'affichent-elles aussi petit ?)

J'en ai tellement marre de 20six que même ce blog dont je ne me servais plus, je le fais migrer.
Pas sûr que je le mette à jour, mais même vide, il est déjà moins moche que celui que je quitte et qui a perdu tout ce que j'aimais et ses fonctionnalités et contenus.

Je suis allée voir ce qui se fait ailleurs. J'ai testé over-blog, blog2béton, blogger. Si je dois poser mes valises ce sera sans doute ici.



ça, c'est la neige à 10h ce matin. à présent, on ne voit plus que du blanc, y'en a au moins 10 cm, ça n'a pas cessé de tomber depuis 7h, et je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà vu cela ici.