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15/06/2008

Mon amour pour toi c'est, entre beaucoup d'autres choses...

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... une faim de toi globale, absolue, permanente, et bien entendu insasiable.

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06/06/2008

J'ai trouvé ma devise

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"Le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder"
Oscar Wilde

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05/06/2008

Ca passe !

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Ca y est, c'est fait, ils "passent" tous les deux. Euh... tous les 3 d'ailleurs (que je n'oublie pas le P'tit Bonhomme...)
Pour les Grands, l'interrogation, c'était surtout la filière et les options. Mais on leur a accordé ce qu'ils avaient choisi, c'est cool.

Il n'a pas été collé de toute l'année, ne s'est pas fait virer de cours... Incroyable.
C'est Elle qui a pris le relais (un peu...) Tout aussi surprenant...

C'est pratiquement les vacances. C'est les vacances s'ils le veulent en fait. Et je vais cesser de me lever à 6 h pendant 3 mois. Et ça aussi, c'est vraiment très très bien.


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15/05/2008

Perplexe

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J'ai un pac-man dans le cerveau

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04/05/2008

Dommage que tu sois si loin

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(Chéri, lui, est content que tu n'habites pas plus près :-P
L'est pourtant pas jaloux, mais quand il a vu que ta voiture était encore là après l'aube, l'a pas laissé les mots tendres habituels dans son premier message de la journée :-S)



Ce n'était pas le meilleur foie gras qui soit, mais qu'importe, la soirée, elle, a tenu ses promesses.
Et la suivante, qui n'était pas prévue, a dépassé tout ce que j'aurais pu imaginer.

Comme c'était bon de te retrouver, mais surtout de lâcher prise, de parler, de rire, de partager, d'évacuer, de faire des excès...
Et mes enfants m'ont étonnée. Agréablement.

Vivement la prochaine fois que tu descends, même sans bouteille, même si on se fait pas le grand restau prévu.
C'est tellement mieux que les médicaments... double parenthèse dans le marasme ambiant. D'un extrême à l'autre, c'est vrai. Et quel extrême :-)

Vivre l'instant présent, tu me l'as assez répété. Ca et tout le reste... ne t'inquiètes pas, tes paroles font toujours leur chemin dans ma p'tite tête et il en ressort toujours qq chose de positif, tu le sais.

Et tu mérites que je te prouve que je peux le faire. Même si pour l'instant, après 3 nuits presque blanches et un p'tit pincement au coeur je suis tellement fatiguée que je me pose la question de savoir si j'y arriverai...


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15/04/2008

...

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Elle avait 39 ans.
Un gamin de 16 ans.
2 ans et demi, elle a lutté.
Un pas en avant, deux en arrière.
Pudeur sur les souffrances, l'état physique, les maux et le nom des cancers.
J'aurais aimé que cela n'arrive jamais, et pourtant j'avoue que je suis heureuse d'avoir été "près" de toi ces derniers mois pour t'accompagner.
Je n'oublierai jamais les quelques mots de ton texto cette nuit-là "voilà, c'est fini..."
et les frissons que je ressens encore.
Formidable tu as été, jusqu'au bout.
Hallucinant de force, de courage, d'optimisme.
Une vraie leçon.

Et puisque la vie continue, avec ses merdes mais aussi ses moments de partage, promis, je vais t'en dégoter un de ces foie gras pour la prochaine fois que tu descendras !

Ta-psy-préférée-qui-elle-seule-sait-trouver-les-mots

(Il parait)



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06/03/2008

Je ne pense qu'à ça

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Je ne pense pas qu'à ça, qu'à Lui, mais je n'ai pas envie de parler du reste, de mes coups de sang, de colère, de mes soucis et mes inquiétudes, de ces sujets d'actualité qui me font tomber les bras ou me mettent hors de moi.

Je n'ai pas envie de gravité quand je viens ici. Et ça fait un bout de temps que ça dure.
Je me sens futile quand je me relis, mais qu'importe. Je sais que ce n'est qu'une vitrine.

(...)


Il me tarde dimanche soir, puis éventuellement le dimanche soir suivant.
Dernière ligne droite, le stress est multiplié par 4, l'effervescence est contagieuse, les tensions palpables.
Avec quelles équipes vais-je travailler après ?
Tous ces cons qui veulent une place et ne sont capables de rien... c'est effrayant...


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Dans quelques temps je suis sûre que ce sera pareil

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(...)

- J'y pense très très souvent, cela me tracasse... je me dis que je n'ai pas le droit de t'imposer cela.
- Mais tu ne m'imposes rien ! Je savais ce qu'il en était ; je l'ai accepté ainsi...
- Oui, mais je me dis que tu mérites autre chose, que ce n'est pas une vie pour toi, que je n'ai pas le droit de...
- Tu n'es pas décisionnaire pour l'autre...
- Bien sûr, mais tu es jeune, souvent seule, tu as besoin de quelqu'un qui soit près de toi dans les moments difficiles, j'enrage d'ailleurs de ne pouvoir faire plus pour t'aider, que peut-être quand tu rentres le soir...
- Je ne veux surtout vivre avec personne !
- ... Il est vrai que nous n'en avons encore jamais parlé...
- Alors tu peux être rassuré sur ce point...
- Mais j'ai bien retenu... tu as dit aussi que cela te convient parce que tu es débordée, pas souvent chez toi, que tes enfants ont besoin de toi... mais... peut-être, dans quelques temps...

(...)


Parce qu'on peut être présent sans être là, parce qu'on peut donner même quand on a peu de temps et même dans l'adversité, parcequ'on peut être comblé(e) par la qualité même quand il manque un peu de quantité. Parce que je te préfère, toi, non-disponible, pour tout ce que tu m'apportes malgré les difficultés de nos situations qu'un autre jeune, beau, disponible mais vide d'amour et de conversation...


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01/03/2008

Sur le fil, toujours

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Le temps de rien, même pas celui de dormir assez.
Plus de vie sociale, de loisirs, de sorties.
Mes boulots dans lesquels je vois beaucoup de monde compensent un peu.
Mais ce n'est pas pareil.
Façon j'ai pas le choix. Trop fatiguée.
Pas assez à la maison.
Alors quand un week-end d'un jour et demi où (presque) rien n'est prévu se profile, ça confine au bonheur.
Essayer de ne pas trop forcer sur les tâches à rattraper.
S'accorder un peu de repos, s'occuper des enfants.
Et penser un peu à soi. Lire, par exemple, si possible.
Mais je ne me plains pas. J'assume, j'avance.
Et je pense à toi.
Et là... la dure semaine qui vient de s'écouler, le fragile équilibre physique et nerveux qui a basculé plus d'une fois, tout cela s'envole.
Tu es là.
Tel un ange gardien.
La meilleure des énergies renouvelables, selon mon expression favorite.

"Merci"


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19/02/2008

Je peux pas le dire

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C'est parfois lourd de ne pas pouvoir en parler, de ne pas pouvoir raconter.
C'est même souvent lourd un tel secret. "Secret défense" a dit ma fille à son frère...
Sourire.

Le coeur gonflé de toi, le manque perpétuel, l'incroyable histoire.

Si tu n'étais pas là je ne tiendrais pas le coup, ni physiquement, ni moralement.
Le planning est trop chargé, trop lourd, le rythme trop épuisant. (Ca rime à quoi ? Ne surtout pas se poser de questions...)
Tu es mon carburant, mon énergie, mon moteur même.

Tu es incroyablement tout ce dont j'ai besoin, tout ce que j'aime.
Merveilleux, émouvant.


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17/02/2008

Youhou !

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Récupérer l'ordi et redécouvrir l'adsl à la maison le même jour, quel pied... !


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28/01/2008

J'en ai maaaaarre !

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D'avoir la crêve
Que l'ordi de la maison soit en panne.

Mais sinon tout va bien.

Pas mal de perturbations, de bonnes perturbations,
voire de perturbations hallucinamment bouleversantes.

Et il faut bien ça pour supporter le rythme.

Mais siii, tout va bien je te promets !


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19/01/2008

Tiens, d'ailleurs...

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... le Reste, comment vas tu ? je n'ai pas encore eu de nouvelles de toi aujourd'hui...

Je ne ressens même pas de manque de cette absence d'évolution positive, de la stagnation (attendue) de cette situation.

C'est grâce aux autres domaines qui monopolisent mon attention, le boulot, les assos, les ami(e)s, grâce à mon emploi du temps chargé, à ma fille qui a besoin de moi le week-end, grâce aussi à tes mots, à tes signes, tes attentions à distance, à tes coups de fil, ce "nous" que tu prononces.
Je n'aurais jamais cru pouvoir me contenter de cela...
Le plaisir de savoir que tu es là, ce que tu ressens pour moi, le plaisir de se dire qu'on est -encore- ensemble, le regard des autres, les compliments (oui, je sais, j'ai bien choisi :-)))

... me contenter de cela...
... pour le moment.
Ca commence tout de même à faire quelques jours que tu n'es pas passé...
Oui, je sais, tu y penses, tu l'as prévu, tu en as envie, tu vas tout faire pour, c'est toi qui le dis, j'ai rien demandé... tu es même presque surpris que ça me fasse plaisir aussi... pfff... tu es donc si peu sûr que je ne suis pas encore lassée de ton manque de disponibilité ?
Mais tu as raison de redouter ma lassitude. Car parfois...


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En fait non, je suis pas en forme du tout

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D'abord, c'est pas le matin, tu as raison.
Et c'est pas que je viens juste de me lever, non, je débauche, même, là tu vois.
Mais c'est tellement dur en ce moment que j'ai pas encore vraiment émergé...
Le week-end end commence enfin... ouf...

Cette semaine fut très difficile, épuisante.
Je suis littéralement vidée moralement et physiquement.

Pourtant j'aime assez ce qui se passe, l'avancée dans le travail, l'évolution dans les autres domaines, les perspectives, cette sorte de stabilisation et de "confortation sociale"... mais alors... qu'est ce que c'est chargé professionnellement depuis quelques semaines, je n'en reviens pas.
Mais je progresse... :-) c'est gratifiant.
Et les questions s'éloignent un peu...
Et ça aide à bien vivre le reste.


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Je suis très en forme ce matin

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"Tu es comme le sucre et le lait dans le thé, indispensable à l'énergie, à la douceur et au plaisir".

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05/01/2008

Une année de plus, c'est rien

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Surtout quand on est rôdé, qu'on en a déjà un paquet derrière.
Mais celle-ci, c'est la dernière petite bougie avant d'en remplacer neuf par une plus grosse.
Dans un an, tu changes de décennie, ma vieille.
En attendant, ça fait toujours -et encore- une occas' de trinquer.


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30/12/2007

Et la suite, c'est...

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... fêter dignement la fin de cette année et amorcer en beauté la suivante.

- Ou ne rien fêter du tout. D'ailleurs

- Oh, si, quand même, un peu... non ?

- Mouais, mais juste parcequ'envie de faire la fête, alors, pas parcequ'on change d'année... :-))

- D'accord ;-)

- Tchin...

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Tout plein de pétillant pour toi, pour vous...

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29/12/2007

Bon, ben déjà, ça c'est fait...

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On peut passer à la suite.


Après quelques jours de flottement, moral en berne, puis physique idem, je me retrouve enfin.
Ces heures passées au téléphone avec toi cette semaine y sont sans doute pour beaucoup.
Toujours là pour écouter, partager, comprendre, confier, détendre, encourager, distiller l'évidence, l'apaisement, le sens de ce qui est important.

Et le tournant.
Non, pas un tournant. C'est juste que les mots sont posés, échangés, sur ce qui était jusqu'à présent non-dit mais qui existait déjà, que l'on sentait, que l'on savait.
Il n'empêche que cela a densifié ma vie affective, lui a donné un autre relief, sans créer d'autres perspectives. Et c'est ça qui est énorme. Et sacrément important aujourd'hui.
Une expérience unique, que toi seule pouvait engendrer.
Parce que tu es vraiment unique.
On l'est tous et toutes ? "Oui mais", toi plus que les autres...

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Eh ben moi je dis que j'ai vraiment de la chance.


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23/12/2007

Moi j'aime pas Noël

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Mais ça ne m'empêche pas de vous souhaiter, et de nous souhaiter, de le vivre de la manière la plus chaleureuse et agréable possible... puisqu'il faut...

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[Et Heureux Noël à vous 6, oui, toi, T.-Ch. avec "toutes tes Filles" ;-) et ton Grand]
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Sépia, comme le souvenir d'une époque révolue

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Pourtant, non, cette photo ne fait pas partie du passé, mais... quand va t'elle te laisser en paix ? ou... quand auras-tu le courage de... ?

C'était si bien, quand on était totalement libres...

Surmonter la difficulté.
Beau challenge.


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23/11/2007

Délire à l'eau de rose

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20/11/2007

Question récurrente

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Vaut-il mieux une passion éphémère (pléonasme) ou une histoire plus longue mais (un peu trop) pépère ?
Parfois j'ai des doutes...

Mon parcours me fait préférer tantôt l'une, tantôt l'autre.

Mais il sait aussi parfois me faire goûter aux deux simultanément.
Et c'est d'ailleurs là que les emmerdes commencent.


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La Passion est Ephémère

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Tant pis, du moment qu'elle revient souvent.


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Les "A." se suivent et ne se ressemblent -heureusement- pas (TER et fin)

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Ah ben en fin de compte, non...


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09/11/2007

"Recherche épicéas pour orner la ville"

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C'est le titre de l'article paru dans au moins un hebdomadaire du département et feuilleté ce matin par hasard.


"17 sapins de 6 à 10 m de haut, et un de 17 à 20 m sont nécessaires, chaque année, pour orner et décorer les places des quartiers de la ville à l'occasion des fêtes de fin d'année.
D'année en année, les stocks s'épuisent. La ville lance un appel aux particuliers afin de continuer à donner à la citer des aires de fête. La ville recherche des épicéas, arrivés à maturité, dans un rayon de 10 km autour de Périgueux, que les particuliers cèderaient à titre gracieux.
En contrepartie, la ville s'occupera des opérations d'abattage et de nettoyage du chantier.
D'avance elle remercie les généreux donateurs (...)"


Non mais j'hallucine... !
Oyez oyez braves gens, vous pourriez pas couper les magnifiques sapins qui ornent votre parc ou votre jardin, juste pour faire plaisir quelques jours au Père Noël, et qu'après on les mette à la poubelle ? Alleeeez, un p'tit effort !
"Les stocks s'épuisent", vous comprenez...
(Et ils le disent en plus !)

Z'ont vraiment pas mal sans dèc...

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05/11/2007

Les "A." se suivent et ne se ressemblent -heureusement- pas (BIS)

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Eh bien la relation idéale semble exister.


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27/10/2007

Cette année, ma fille est interne

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Morgane, une semaine c'est long...
Tu me manques !!

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C'est pas une chanteuse que j'aime particulièrement, mais cette phrase me plait...

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"Devant mon poste de télévision,
de l'homme je suis la négation
pur produit de consommation,
le compte est bon, le compte est bon..."


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23/10/2007

7 ans

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La dernière fois que j'ai accouché, c'était il y a 7 ans jour pour jour...

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Heureux anniversaire mon petit Amour...


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17/10/2007

Mais qu'est ce qui t'a pris ?!

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J'y suis allée par correction. Aussi parce que je me sens concernée, bien sûr, mais hier soir je me sentais plus concernée par les cartons à déballer, par ceux qu'il reste à aller chercher, par mon dossier à boucler pour mon rdv de ce matin, voire même par un petit peu de sommeil supplémentaire.

J'y suis allée pour un soutien à minima, vu le manque de temps par rapport à l'an dernier.
J'en suis ressortie secrétaire de l'asso.
Bon.

Je n'ai pratiquemment pas dormi de la nuit et j'ai l'impression d'avoir rêvé cet évènement, d'avoir fait partie d'un mauvais film.

Je me dis ce matin que c'est de la folie, que je ne serai pas à la hauteur, que je ne pourrai pas assurer.

Pour l'heure, je veux juste qu'on me laisse terminer ce qui est en cours ici, m'installer, trouver mes marques et me reposer (oui, ça, c'est pas pour tout de suite).

Je commence à accuser le coup, et la tension ne descend pas, il ne manquait plus que ça !
Mais qu'est ce qui m'a pris ?!


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12/10/2007

Vivement...

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Semaine d'enfer... crevée, débordée...
et week-end qui s'annonce idem.

L'impression, du coup, d'une éternité écoulée depuis notre dernière rencontre...
Tes bras, ta voix, ton regard me manquent.

Alors ce week-end, malgré le déménagement, malgré la fatigue, malgré tout,
Une soirée, notre soirée, une nuit, notre nuit,

Reprendre des forces...

Et repartir...

Vivement l'accalmie...
Vivement le temps de souffler, vivement les balades, vivement plus mettre le réveil,
Vivement Nous.

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08/10/2007

Les "A." se suivent et ne se ressemblent -heureusement- pas

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Si la relation idéale existait, elle ressemblerait sans aucun doute à cela...


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03/10/2007

Ca y est, c'est parti...

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Nouveau mois, nouveau job, nouveau rythme...
(pas encore nouvelle maison mais ça va pas tarder ; nouveau bazar, nouveaux cartons, nouvelles démarches...)

Partir à 8 h, rentrer à 19 h. Courir, n'avoir que 30 mn de pause le midi pour changer de village et manger, mais... avancer, avancer, avancer...

Et comme, c'est bien connu, l'amour ça donne la patate, profiter de cette énergie renouvelable...

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Marianne sur le Net

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Ce n'est pas la panacée, ce n'est pas forcément La vérité, mais ça a le mérite d'exister, de titiller, de s'insurger, d'encourager à penser, à réagir, à refuser.

Exemples :
http://www.marianne2.fr/Lettre-a-l-Educateur-des-educateu...

http://www.marianne2.fr/Connaissez-vous-la-SPA,-Sarkozy-P...



http://www.marianne2.fr/

Parce que je prends quand même le temps, le matin au réveil, et que ça fait du bien.


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02/10/2007

La vie est un éternel recommencement

(Avec un titre comme ça, on sent l'inspiration à 2 balles...)



- Le 1er jour, j'ai décidé de faire une croix sur ma vie sentimentale.
- Le 2nd jour, j'ai décidé que je ne m'attacherai plus jamais et que je me protègerai.
- Le 3ème jour... j'ai... replongé !!




PS : La vie est (aussi) courte ; samedi, je sors.


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25/09/2007

Parce qu’il n’y a pas que ça dans la vie

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Non parce que c’est bien beau d’avoir des cœurs dans les yeux, mais y’a pas que ça dans la vie. Et pis dans 3 mois, les yeux seront toujours là (euh, enfin j’espère) mais les cœurs auront peut-être disparu, alors faut pas non plus en faire une fixation.

Donc y’a aussi le boulot, la maison, les enfants, la vie sociale, les sorties, le repos (c’est quoi donc que ces trois derniers trucs ???).

Y’a les portes qui s’ouvrent quand tu oses faire un pas en avant.
Oui, j’en ai déjà parlé y’a quelques mois…
Oui, et aujourd’hui tu récoltes concrètement le fruit de tes démarches.

Une période de changements, une nouvelle vie…
Séparation, déménagement, nouveau boulot.

Bon en ce moment par contre c’est un peu chargé, et ça va pas aller en s’arrangeant.
Travaux dans la nouvelle maison le week-end, cartons à préparer et la semaine prochaine en plus de cela, passage à temps plein pour quelques mois. Tenir le coup. Il faut. Pas le choix. Appréhension. C’est pas un rythme habituel. Mais d’autres le font tous les jours depuis des années.
Y’a pas de raison, tu vas y arriver.

Vivement que la maison soit prête et qu’on soit dedans, pour souffler un peu.

Le reste est en stand by, trop fatiguée pour bouger, pour sortir, pas besoin ni envie de voir du monde en ce moment.
Et puis toujours pas habituée au réveil à 6h, c’est décidemment pas ton heure !

Ah ça, c'est clair... C'est quand la St Dormeur ??!


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21/09/2007

"Terrible"

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J'ai besoin d'écrire, j'ai besoin de partager, j'ai besoin de laisser déborder ce trop-plein d'émotions... mais je ne sais le traduire autrement qu'avec des phrases forcément dégoulinantes de romantisme et d'eau de rose.

Alors heureusement que tu es là, Sandrine, témoin (privilégiée ?) de mon parcours sentimental, cousine jumelle qui lit et écoute jour après jour tout ce que mon coeur contient, et tout ce qu'il ne peut plus contenir.

Oui ce fut dur aujourd'hui. Je ne suis pourtant restée que 24 h sans nouvelles. Et il va falloir que je m'y habitue. Sa charge de travail augmente (encore ?! ce n'est pas assez 12 h/jour, 7 jr/7 ?) la pression, les responsabilités, l'accès au Net moins facile, les liaisons mauvaises.


Le manque est si fort, déjà, encore. Si fort. Terrible.
Le vide, l'absence, l'attente, la douleur physique du désir.

- "Tu me manques"
- "Je te manque ?"
- "Oui, terriblement".



- "C'est terrible ce qui m'arrive"
- "Et qu'est ce qui t'arrive ?"
- "Ca, c'est mon secret à moi !"


Tu me scotches, tu sais.


Et tu me manques aussi. Terriblement.


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17/09/2007

Je vais mourir un coup et je reviens

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Ce qui est bien quand tu t'es fait à l'idée qu'il n'y aura plus de téléphone, c'est que si finalement tu reçois un appel (même de mauvaise qualité, même en ayant fronçé les sourcils avant de décrocher "c'est quoi ce numéro bizarre ?", ), quand tu entends sa voix, tu fais une crise cardiaque.

Déjà que le matin en ouvrant ta boite mail tu avais failli y passer en te demandant si c'était vraiment pour toi "tout ça" ou si c'était pas plutôt une erreur...


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14/09/2007

Pourquoi j'ai la gorge nouée... ?

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"Voilà, il est 9h39 (10h39 pour toi) mon hélico décolle à 11h... après... plus de téléphone jusqu'au retour...(...)"


Je ne vois pas où est le problème... 12 semaines, c'est rien...




(gloups)

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Tout va bien...

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"Lagos, Nigeria - Le gouvernement fédéral du Nigeria a ordonné un renforcement de la sécurité autour des installations pétrolières dans la région du Delta du Niger.

Une force spéciale mixte, comprenant des soldats, des policiers et d'autres agents de sécurité, protège les installations pétrolières dans la région pétrolifère en proie à des troubles.
Plus de 200 étrangers, pour la plupart employés dans le secteur pétrolier, ont été enlevés dans cette région du sud du Nigeria depuis le début de 2006 par des groupes de militants séparatistes réclamant notamment une meilleure répartition des revenus pétroliers ou par des bandes criminelles".

Lagos - 10/09/2007




Non, mais y'a vraiment aucune raison de s'inquiéter !



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13/09/2007

Bingo...

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... en plein dans le rouge...

http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs_9...

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12/09/2007

Oui, je sais

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... toi tu as l'habitude, mais moi ça me fait du bien de l'écrire !...

3:45 - taxi
6:30 - décollage Bordeaux
10:25 - décollage Roissy
15:40 - arrivée Lagos

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11/09/2007

"Même pas peur", dixit...

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Peut-être, mais bon, quand même... le Nigéria, c'est loin, et surtout ça craint...





Sentiments mitigés... Battements et mais aussi pincements de coeur


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31/08/2007

Mai (jamais)

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Mai non tocchi ai nostri bambini.
Niente giustificerà ciò, mai.

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26/07/2007

On est pas bien, là ?

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Je pourrais sans doute écrire là une des plus jolies notes de ce blog, comme j’écris en ce moment une parmi les plus jolies pages de ma vie. (Non non, je n’exagère pas).

Mais ce que je pourrais raconter serait tellement fade…

Il est des sensations, il est des regards, il est des bien-être, il est des émerveillements qui ne peuvent se communiquer.
Il est des univers, il est des états d'esprit, il est des attitudes, qui me correspondent.

Ecrire aujourd’hui du bonheur et savoir que peut-être demain je pleurerai toutes les larmes de mon corps m’empêche de me laisser aller.
Ne pas l’évoquer pour ne pas le faire fuir… ?

Bien sûr rien n’empêche de prendre un instantané… Ce qui est pris n’est plus à prendre, ce qui est vécu ne peut être retiré, ce qui fut bon ne deviendra jamais mauvais.

Mais…

Au jour le jour ? Essayons…

Et si ce n’est pas toi durablement, et si tu fuis quand même parce que décidemment, oui, cela te fait peur, je sais maintenant que c’est possible, que ça existe, que ça existera aussi ailleurs... après toi s'il le faut.

Le plus tard possible.


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18/06/2007

Et je repense à ta fascination pour le cerveau humain…

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Il m’a fallu 3 ans depuis la fin de ma dernière dépression pour comprendre.

Prendre conscience que les quelques kilos que j’ai en trop sont venus lorsque j’ai commencé la première.
Prendre conscience qu’elles ont commencé lorsque je l’ai rencontrée.
Prendre conscience qu’elles se sont terminées lorsque je l’ai quittée, lorsque vraiment j’ai eu touché le fond.
Ça parait tout bête, mais je n’avais jamais lié ces évènements entre eux.

Il a fallu tout ce temps à mon esprit pour les associer et en tirer cette simple conclusion.


N’empêche… j’ai l’impression d’avoir fait encore un pas en avant.


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02/06/2007

Sauf que...

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Je me demande quand est ce que je vais trouver le temps de le faire !


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Voyage par procuration

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L’Islande, le Groenland, c’est franchement pas des coins que j’aurais choisis pour une expédition ou même un voyage touristique. Mais on m’a pas demandé mon avis. D’ailleurs, c’est pas moi qui pars, comme ça au moins…

Ben non, le jour où je partirai seule et à pieds pendant 4 mois dans une contrée hostile, il se sera passé quelque chose de lourd dans ma tête.

Par contre, et c’est là que c’est vachement excitant, me voilà rédactrice en chef du journal de bord du protagoniste. Un peu pompeux comme terme mais… une conversation, un délire, et hop, l’idée du blog pour raconter son voyage. Il l’a trouvée très bonne (merci, merci). Alors voilà, un peu de cogitation, un peu de bidouillage, et je me lance.

Créer le blog (facile), le remplir (ah, moins facile).
Quelques infos qu’il m’a données sur ses préparatifs et le trajet de l’expédition, et quelques recherches à faire pour meubler avant de recevoir les premières nouvelles en direct de son périple. S’il arrive à les expédier.

C’est là que ça va se passer, avec sans doute quelques améliorations dans la présentation, et quelques balbutiements :

www.islandtour2007.canalblog.com
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24/05/2007

J’avance.

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Tout doucement j’avance.
Je me reconstruis. Non. Je me construis.
J’apprends beaucoup sur moi, sur qui je suis réellement. Ce que je soupçonnais, ce que je n’imaginais pas. J’apprends sur ce dont j’ai envie, sur ce dont j’ai besoin. Je mûris. Non, ce n'est pas que je mûris. Je me stabilise. La raison m'attrape, moi qui n'ai toujours fonctionné dans tous les domaines qu'à la passion. Mon rapport aux autres est différent. Mon rapport à la vie changé.

On sait qu’on apprend à se connaître tout au long de la vie et plus encore au moment des épreuves. J’ai commencé à poser les fondations non pas il y a presque 40 ans, comme cela aurait dû être, mais il y a environ 4 ans, à la suite d’une sale épreuve justement.
Mais durant ces 4 années j'ai construit tout doucement, à tâtons.
Jusqu’à cet automne.
Car tout a commencé en amont de ce qui se joue actuellement. Ce qui se passe actuellement en est à la fois la cause et la conséquence. J’ai tissé.

Cet automne j’ai amorcé un tournant décisif.
Sans imaginer ce qui se passerait ce printemps.
Et voilà…
On y est.

Devant l’ampleur du bouleversement, je me dis que je ne me débrouille pas trop mal pour le gérer.
J’avance parfois à pas de géant. Parfois je rate une marche. Souvent. Je pleure un coup, et je repars. Jusqu’à la crise suivante, née d’un doute, d’une question, d’une colère, d’une tristesse, d’un sentiment d’injustice.

Je suis une impatiente. Je n’ai jamais su prendre mon temps. Et je n’ai jamais supporté la souffrance.
Quand je regarde par-dessus mon épaule, le passé tout proche, je me rends bien compte que tout est allé vite, que le deuil suit son cours de manière rapide et bien plus facile que je n’aurais osé l’espérer. Trop peut-être.
Car au jour le jour, pourtant, je trouve le temps si long, avec ses crises de larme fréquentes, ses coups de cafards récurrents.
J’ai du mal à comprendre pourquoi. J’ai beau tourner la question dans tous les sens, c’est irrationnel. Oui, c’est bien là le problème : ce qui échappe à la raison, à la logique. Et c’est ça qui gâche tout.

Chaque point pris séparément est positif. Chaque perspective plus réjouissante que son équivalent au présent. Alors ?!
Alors… ça fait mal quand même.

On ne tourne pas la page sur 18 ans comme ça en claquant des doigts, c’est ça ? même quand c’est ce qu’on souhaite ? même quand il n’y avait plus que du négatif ? même quand on respire mieux d’avoir pris la bonne voie ?

La machine s’est emballée dès que j’ai fait le premier pas en avant. Maison, boulot, cœur, « famille », les bonnes nouvelles sont tombées les unes après les autres en quelques jours. J’étais incrédule, émerveillée. C’était donc si facile ?
Trop facile !

Trop rapide peut-être ? la tête en avant, le cœur en arrière… ?
Mon cœur, qui continue de saigner devant des portes ouvertes sur le soleil.


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23/05/2007

Pas de titre cette fois-ci

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De petits hauts et de grands bas.
Voilà le résumé des derniers jours.
Beaucoup de larmes et de douleur. De l’angoisse, du stress, de l’appréhension. Et aussi d’autres choses plus… secrètes… liées au deuil
Et ce malgré les perspectives plutôt rassurantes, voire exaltantes.

Et puis, et puis… hier soir, une discussion apaisée, à bâtons rompus, sur les sujets sensibles du moment.
Et, comme toujours en fin de compte, malgré l’incident de la semaine dernière, la volonté de conciliation, que « ce qui se passe mal… se passe bien ».

Où je mesure l’énorme influence de notre bonne relation sur mon moral.

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