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30/12/2009

CODEX ALIMENTARIUS II - Si l'article précédent vous a donné envie de savoir...

 

CODEX ALIMENTARIUS
... l'éradication de la médecine traditionnelle et naturelle (l'article qui vous explique tous)

Aux sources du Codex Alimentarius, l’histoire inconnue de la naissance du Trust Mondial de la Pharmaco-chimie.

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Origines de la pharmaco-chimie

Aux environs de 1860 «Old Bill» Rockefeller, marchand forain de spécialité pharmaceutique, vendait des flacons de pétrole brut aux paysans naïfs, leur faisant croire que c’était un traitement contre le cancer. Il appelait son pétrole brut en flacon Nujol (New Oil, nouvelle huile). L’affaire était prospère, il achetait une fiole de pétrole brut de 30 grammes à la Standard Oil pour 21 cents et la revendait 2,00 dollars. Très peu cultivé, peu scrupuleux, sans connaissance ou formation médicale, avec quelques notions de comptabilité et une avidité féroce, il sut s’imposer. Le Nujol fut baptisé «cure contre la constipation» et fut largement commercialisé.
Cependant des médecins découvrirent que le Nujol était nocif et provoquait des maladies graves, éliminant les vitamines liposolubles du corps. La Standard Oil lutta contre la chute des ventes en ajoutant du carotène au pétrole brut pour parer à toute carence. Le Sénateur Royal S. Coperland de New York était payé 75 000 dollars par an pour promouvoir le Nujol.
L’Empire Rockefeller s’est construit grâce à cette formidable supercherie qui consiste à faire ingérer un dérivé de pétrole brut enrichi en carotène, aux populations. C’est ainsi que les fondations de l’industrie pharmaco-chimique furent posées. Nous sommes bien loin des fondements des médecines chinoise, tibétaine, védique ou perse.
Le succès commercial du Nujol permit de diversifier la production pharmaco-chimique et d’atteindre des sommets en terme de bénéfices. En 1948, le chiffre d’affaire annuel de la Rockefeller s’élevait à 10 milliards de dollars. Le médicament Nujol existe toujours sous forme d’huile de paraffine pure, classé comme laxatif doux, il est recommandé pour la constipation chronique rebelle aux thérapeutiques hygiéno-diététiques habituelles. Il est fabriqué par le laboratoire Fumouze.

Rockefeller et IG Farben

Le Trust de la pharmaco-chimie tel que nous le connaissons fut conçu par une association de la Rockefeller avec l’IG Farben de l’Allemagne nazie. La Standard Oil détenue alors par John D. Rockefeller prit une participation de 15% dans ce nouveau trust germano-américain en 1939. L’industrie IG Farben en Allemagne ne fut pas bombardée pour préserver les intérêts de la Rockefeller. Dès 1932, l’industrie pharmaco-chimique IG Farben finança Adolf Hitler, à hauteur de 400 000 Deutsch Mark, sans ce soutien selon le tribunal de Nuremberg «la deuxième guerre mondiale n’aurait pas pu avoir lieu...»
En 1941, IG Farben établît la plus grande industrie chimique du monde à Auschwitz, tirant profit de la main d’oeuvre du camp de concentration fabricant le gaz ZyklonB. Au procès de Nuremberg, 24 responsables de la IG Farben ont été déclarés coupables de génocide, d’esclavage, de pillages et d’autres crimes. Le Tribunal de Nuremberg avait alors scindé la IG Farben en BASF, BAYER et HOECHST. Tous ces anciens responsables furent cependant libérés après leur condamnation en 1952 avec l’aide de Nelson Rockefeller leur ancien partenaire commercial. Il était alors Ministre des Affaires Etrangères des USA. Une fois libérés, les dirigeants d’IG Farben infiltrèrent les plus hautes fonctions de l’économie allemande. Jusque dans les années 70 les PDG des sociétés BASF, BAYER, et HOECHST étaient des anciens membres du parti nazi. Ils financèrent à partir de 1959 le jeune Helmut Kohl. Avec le support politique de ce dernier les trois filiales issues de l’IG Farben sont actuellement 20 fois plus grande que la maison mère initiale de 1941. L’organisation nazie de mondialisation associée à Rockefeller est une réussite totale, depuis longtemps la planète fut quadrillée, organisée et gérée pour assurée une expansion industrielle mondiale de la pharmaco-chimie.

IG Farben et le Codex
La «tradition» du cartel de IG Farben s’est poursuivie sous un nouveau nom : Association de l’Industrie Chimique. En 1955, l’industrie chimique pharmaceutique mondiale s’est regroupée sous les auspices de la Chambre de Commerce Internationale des Nations Unies et du gouvernement allemand. Leurs efforts communs furent camouflés sous le nom de code CODEX ALIMENTARIUS. Un grand nombre de partis politiques européens dits de droite et de gauche furent financés par cette industrie pour assurer des législations favorables à l’industrie pharmaceutique.

Objectifs du Codex
Le CODEX ALIMENTARIUS entend mettre hors la loi toute information alternative de santé en rapport avec les vitamines, les thérapies naturelles, les compléments alimentaires et tout ce qui constitue de près ou de loin un concurrent potentiel. L’état d’esprit qui préside à la mondialisation pharmaco-chimique explique en grande partie la destruction systématique de tous les novateurs scientifiques indépendants depuis 50 ans. Cette industrie emploie tous les moyens pour garder ses parts de marché en matière de cancer, sida, maladies cardio-vasculaires, etc... Nous sommes en mesure depuis des décennies de soigner et de guérir dans bien des cas toutes ces maladies, mais de puissants procédés de désinformation sont en place pour cacher ces vérités au grand public.
La mise hors la loi de toute information sur les médecines alternatives bloquera l’éradication de certaines maladies assurant toujours plus de profits à cette industrie mondiale qui ne traite que les symptômes sans s’attaquer aux causes. Le Docteur Rath, dénonce cette situation en ces termes : « La vraie nature de l’industrie pharmaceutique (mondiale) est de gagner de l’argent avec les maladies chroniques, et non point de s’occuper de la prévention ou de l’éradication des maladies... L’industrie pharmaceutique a un intérêt financier direct à ce que les maladies perdurent afin d’assurer la croissance du marché des médicaments. C’est pour cela que les médicaments sont conçus pour soulager les symptômes et NON pour traiter les causes des maladies... Les trusts pharmaceutiques sont responsables d’un génocide disséminé permanent, tuant des millions de personnes...»

Le Codex mis en accusation

Une légion de lobbyistes pharmaceutiques est employée pour influencer les législateurs, pour contrôler les organismes de réglementation, pour manipuler la recherche médicale et l’éducation (dons du Trust de la pharmacie aux Universités en 1961, Harvard 8 millions de dollars, Yale 8 millions de dollars, John Hopkins 10 millions de dollars, Stanford 1 million de dollars, Université Colombia de New York 1,7 million de dollars, etc… °
L’information des médecins est intégralement financée par ces trusts qui cachent soigneusement un grand nombre d’effets secondaires dangereux, voire mortels en les reniant publiquement. Après avoir établi la genèse de ces crimes en col blanc et prouvé la responsabilité des industries pharmaceutiques concernant la mise en place d’une politique mondiale de génocide disséminé, le Docteur Matthias Rath a remis un acte d’accusation pour crime contre l’humanité à la Cour Internationale de Justice de la Haye le 14 Juin 2003.

438 Millions de pétitions au Parlement Européen
Le 13 mars 2002 nos euro-députés adoptèrent des lois en faveur de l’industrie pharmaceutique, fixées par des dispositions du Codex Alimentarius visant à élaborer une réglementation coercitive pour toutes les thérapies naturelles et suppléments alimentaires. Une manière détournée de détruire des concurrents pour prendre des parts de marché, car la santé se vend et s’achète.
Une fronde citoyenne de 438 millions de pétitions inonda pourtant les messageries des euro-députés à tel point, que les communications internes en furent bloquées. Malgré près d’un demi milliard de pétitions, les directives du Codex Alimentarius furent adoptées. Ce vote fut un véritable déni de démocratie augurant de futures difficultés pour la construction de l’Europe.

Application des directives du Codex Alimentarius
A partir de juillet 2005 les directives du Codex Alimentarius nommées Directive Européenne sur les Suppléments Alimentaires doivent être appliquées sous peine de sanctions financières. En quoi consistent-elles?
1°) Il s’agit de supprimer tout supplément alimentaire naturel. Tous seront remplacés par 28 produits de synthèse pharmaceutique à bas dosage (car toxique) et seront uniquement disponibles en pharmacie sous prescription médicale.
2°) Les médecines naturelles telles que l’acuponcture, la médecine énergétique, ayurvédique, tibétaine etc, se verront progressivement interdites.
3°) L’agriculture et l’alimentation animale se verront réglementées selon les normes du complexe pharmaco-chimique, interdisant du même coup l’agriculture dite bio-dynamique.
4°) L’alimentation humaine certifiée légale devra être irradiée ( irradiée au Cobalt)
Le Codex Alimentarius contrôlera l’accès aux acides aminés essentiels, les huiles de poisson, les vitamines et les minéraux. L’élargissement des contrôles opérera progressivement mettant à mal toutes les médecines alternatives, ancestrales ou naturelles.

L’heure de la solidarité
Le non massif à la constitution européenne est aussi un non au Codex Alimentarius, organe de propagande du complexe pharmaco-chimique qui vise le monopole mondial le plus despotique que nous n’ayons jamais connu. Ne pas prendre en compte l’opinion de centaines de millions de citoyens est une très grave inconséquence de la part de nos hommes politiques. Des centaines de millions de citoyens à travers le monde n’entendent pas laisser des médecines naturelles millénaires être interdites pour les parts de marché de la pseudo-science pharmaco-chimique.

Dangers de la pharmaco-chimie
Tous les ans, 800 000 personnes meurent en Amérique du Nord sur prescriptions médicales allopathiques. La pharmaco-chimie tue beaucoup plus qu’elle ne soigne. Un rapport de l’ONU affirme d’ailleurs que sur 205 000 médicaments de ces industries seuls 26 sont indispensables. Parmi ces 26, seulement 9 devraient bénéficier d’une priorité absolue. Si l’on a recours aux médecines chinoise, perse et indienne ces 9 composés chimiques ne sont de presque aucune utilité. Autant dire que sans pharmaco-chimie le monde se porterait beaucoup mieux.

Résistance Internationale au Codex Alimentarius
-L’Afrique du Sud a affirmé qu’elle ne se conformerait pas aux directives du Codex Alimentarius. Le Ministre de la Santé Manto Tshabalala-Msimang a déclaré que son pays est en désaccord avec cette dichotomie entre médecine naturelle et médecine allopathique. Selon ses conclusions, ces dispositions visent à faire de l’argent à partir de remèdes brevetés et ainsi à discréditer l’usage de produits naturels.
-L’Inde ne se conformera pas aux directives du Codex Alimentarius car il a fait la promotion de formules pour bébés contenant des ingrédients chimiques causant une inflammation destructrice du cerveau chez les bébés sensibles. Le délégué indien chargé de plaider l’affaire auprès du Codex a été ignoré et lorsqu’il insista pour un débat, il fut expulsé de la chambre.
-L’association des médecins et des chirurgiens américains a exprimé son opposition au Codex afin d’avoir recours à des remèdes naturels.
-Au Royaume Unis, les médecins exerçant des médecines naturelles, supportés par des membres de la Chambre des Lords se sont fermement opposés à la politique pro-Codex de Tony Blair. Ce dernier est taxé d’hypocrisie puisqu’il a été révélé publiquement qu’il utilise pour sa famille des remèdes naturels, des compléments alimentaires et l’homéopathie. Tony Blair sera Président de l’Union Européenne précisément à partir du 1er juillet 2005, jour d’application des directives du Codex.

Deux idéologies opposées
Nous assistons à un bras de fer entre deux conceptions du monde. D’une part l’idéologie Rockefeller dont l’unique objectif est de vendre sans scrupule, d’asseoir une hégémonie et un pouvoir mondial. Breveter le vivant, tout refaire en molécules synthétiques, nier toute médecine autre que la pharmaco-chimie, c’est l’idée de progrès affiché par tous les Trusts. Cette politique n’a rien de démocratique et vise à modeler les masses à son gré en fonction de ses besoins (fondation, éducation, fausses normes scientifiques, propagande, destruction des médecines ancestrales et naturelles). Le Codex Alimentarius croit pouvoir nier l’opinion des peuples car il pense pouvoir modeler les masses à son gré. Le Codex pense pour vous, agit pour vous et vous protège de vous-même selon des normes qui causeront votre perte.
D’autre part, il existe les vrais biologistes, les authentiques médecins, les vrais thérapeutes ou chercheurs souvent violentés par l’arrogance du Cartel pharmaco-chimique. Ils ont établi le concept de bio-individualité fondée sur la liberté du choix thérapeutique des patients. Cette conception suscite chez le patient l’esprit de recherche, offre des alternatives dans la manière de se soigner. Cette approche s’adapte au patient plutôt que d’imposer un protocole thérapeutique de masse non individualisé. La maladie a une connotation spécifique dans la vie d’un individu, ne pas en tenir compte c’est ramener l’homme au rang de machine physico-chimique. Or l’homme est beaucoup plus que cela…
Au delà de toutes ces considérations, nous sommes en face de deux conceptions de l’homme, d’un côté l’homme robot, rouage au service d’un système, et l’homme holistique reflet microcosmique de l’univers entier, éternel chaman.
Gandhi disait à propos des occidentaux : «l’homme blanc ne vit pas, il fonctionne». Aujourd’hui le choix nous est donné de vivre au lieu de fonctionner…

Frédéric Morin

CODEX ALIMENTARIUS

 

 

Codex Alimentarius - La directive qui vas tuer nos aliments.

Une nouvelle directive de l’Union Européenne doit être mise en place au 31 décembre de cette année. Il s’agit d’un “Codex Alimentarius” qui limiterait considérablement les substances autorisées dans le domaine des médecines alternatives et des suppléments alimentaires, si la directive était votée.

Ceci aurait pour effet que pour les remèdes que nous achetons aujourd’hui (Homéopathie, Fleurs de Bach, sels de Schlüssler, minéraux et vitamines) le nombre des substances actives autorisées serait si limité que ces médicaments perdraient leur efficacité. Pire encore ces médicaments pourraient disparaitre du marché parce qu’ils n’auraient pas reçu d’autorisation de vente du fait des nouveaux critères d’autorisation de mise sur le marché extrêmement restrictifs.
Cette information est d’autant plus alarmante que cela signifierait pour nous tous la fin d’une liberté thérapeutique et aussi la fin de tous les métiers qui utilisent ces substances (naturopathes, phytothérapeutes, homéopathes, herboristes ainsi que les laboratoires produisants ces remèdes).

En Grande-Bretagne les “Health Stores” comme “boots” font actuellement campagne dans tout le pays en demandant aux clients de faire pression auprès de leurs députés pour stopper le vote de cette directive. Le sujet est débattu officiellement et publiquement. Malheureusement les médias en France et en Allemagne ont très peu ou pas publié cette information qui nous concerne tous.

Il est à noter d’ailleurs que les pays qui ont pris l’initiative de cette nouvelle directive sont l’Italie, l’Allemagne … et la France. Vous trouverez si après l’accès (en français) du site anglais de “Consumers for Health choice” qui a mis en place une pétition européenne.


Si vous souhaitez signer la pétition contre cette directive :

 

http://www.consumersforhealthchoice.com/index.php?option=...

28/12/2009

Noël est passé, mais je cogite toujours

Il y a plusieurs degrés dans la connerie des cadeaux de Noël.

Quand on tient à en faire un à quelqu'un, le moins pire consiste à réfléchir à ce qu'aimerait la personne et à lui en faire la surprise.

Le moyen degré, c'est de lui demander ce qu'elle veut et de le lui offrir. Oh, quelle surprise, merci bcp !! (oui, je sais, d'aucuns diront qu'ainsi on est sûrs de ne pas se tromper. Moi je réponds : pffff... !)

Le degré suprême, c'est ça :

Chéri m'a raconté que le matin de Noël son petit-fils est venu lui dire "Papy, tu passeras à la maison après, il y a un cadeau pour toi !"

Moi : "Ah, tu as eu un cadeau, aussi... :-)"

Lui : "Oui, oh, ben une boite de chocolats, comme tous les ans".

COMME TOUS LES ANS.

Comme tous les ans la même chose. Il le savait à l'avance. Ca fait plus de 10 ans que c'est ainsi.

Ca rime à quoi ? Ca sert à quoi ?

C'est juste ridicule.

Un PS à "la roue tourne"

Malgré un parcours sentimental très chaotique (qui me faisait dire il y a encore 2 ans que j'étais trop difficile, trop exigeante, trop sauvage et qu'il fallait sans doute que je me résolve à rester seule) la transition se fait en douceur, sans doute parce que je ne suis plus seule, que je suis plus stable que je n'aurais jamais pensé pouvoir l'être, que l'avenir semble s'annoncer moins solitaire (j'aime la solitude, pourtant, mais être aimée, ce n'est pas un luxe).


Ceci dit, je ne suis pas dans l'optique "vivre avec quelqu'un" pour compenser ce qui se profile et qui est inéluctable.

D'ailleurs je ne le supporterais pas 7/7.

Pas encore... peut-être un jour, peut-être jamais.

Mais je ne rejette plus l'idée, elle fait son chemin en même temps que notre relation, tout doucement, en même temps que sa présence me devient indispensable.

27/12/2009

Et sinon...

Cet après-midi, malgré ma petite forme et mon manque d'envies, Chéri a réussi à me convaincre de sortir.

Evidemment, ça m'a fait du bien. J'avais pourtant envie de respirer de l'air frais mais pas le courage de faire de la marche. Fatigue inexpliquée sinon par des nuits mauvaises que je n'explique pas non plus...

Une ballade dans les bois, départ au fond du jardin...

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(Bon, aujourd'hui il n'y avait plus de neige, la photo a été prise la semaine dernière...)

 ... et quelques découvertes bien agréables en quittant les sentiers battus... un kilo de pied-de-mouton, fin décembre, c'est pas mal...

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La roue tourne

 

C'est un lieu commun de dire que la roue tourne.

Tout le monde s'en apperçoit chaque jour, ou en tous les cas à certaines dates, certains évènements, notamment son propre anniversaire et celui de ses enfants.

Ce soir, je songe que ceux que j'appelle "mes Grands" mènent à présent leur vie de leur côté, malgré qu'ils soient toujours domiciliés ici, de par leur âge et leurs études. Ils ne sont pas encore "partis" -pour l'un ce n'est pas faute d'envie, plutôt faute de moyens- mais ils gèrent désormais leur emploi du temps sans avoir besoin de demander la permission de sortir, de partir plusieurs jours. Ils ne demandent plus, ils disent. Ma fille est partie hier soir, devait rentrer demain. Ce soir j'ai reçu un texto : "je rentre mardi". Soit. Cela ne me chagrine pas, je dresse un constat.

A celui-ci s'ajoute quelques réflexions qui me sont venues ces derniers jours.

J'ai compris pourquoi le "Petit dernier" le reste au delà du raisonnable, pourquoi il est couvé.

Je commence à comprendre également comment on peut en venir à se comporter avec son animal domestique comme si c'était son propre enfant.

Ce ne sont pas des constats réjouissants. Mais pas non plus des sujets de déprime. Je me sens plutôt curieuse et attentive à l'évolution.

Je suis contente d'être consciente de cet état de fait et des dérives possibles, et j'espère que cela me préservera du gâtisme et reculera un peu la sénilité... ;-)

 

26/12/2009

Bon, ben ça c'est fait

 

 

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Le plus dur est passé, même si au regard de la photo, ce ne fut pas franchement désagréable !!

Je l'avais écrit : une bonne bouffe avec mes enfants et mon chéri, point. Bon, quelques cadeaux pour eux aussi. Mais seulement eux.

Au dernier moment, un échange de texto avec ma mère a fait que les enfants ont passé le jour de Noël chez elle. Impeccable, même si j'avais assumé, sans culpabiliser, ma décision de ne plus désormais faire Noël en famille, je suis contente pour elle. Et pour eux puisqu'ils l'étaient.

Mon p'tit bonhomme a ensuite pris le chemin de chez son papa pour une semaine, et il faut bien dire que ça, c'est moins rigolo à vivre pour moi (je devrais pourtant y être habituée, mais il y a des périodes où j'ai du mal à me séparer de lui...) même si je sais que dès lundi, avec le boulot, je trouverai cela plus pratique et moins stressant qu'il ne soit pas à la maison.

Et hier soir avant de me coucher, j'ai trouvé un mail de ma soeur qui m'annonce que dans 8 mois j'aurai un nouveau petit neveu ou une petite nièce... :-)

 

 

18/12/2009

Après-skis, suite

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Une petite baie de symphorine qui se demande ce qui lui arrive...

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Il vaut mieux être de ce côté de la vitre

 

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Où ai-je rangé les après-ski ?

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- Les toutes premières photos, faites ce matin à 6h -

Brrr... J'aime pas la neige, surtout quand elle bouleverse tous les plans.

Pour le Petit aujourd'hui c'était le Noël de l'école : repas, Père Noël et son cadeau et spectacle ce soir. On est coincés sur nos hauteurs, et à mon avis on est pas les seuls et peut-être bien que la maitresse non plus ne prendra pas la route.

Pas de transports scolaires, les Grands sont donc en vacances depuis hier soir, l'internat a fermé, il a fallu récupérer les enfants.

Ma fille ne devait rentrer à la maison que lundi, trois soirées de prévues, donc trois soirées compromises ; hier soir elle faisait bonne figure, mais ce matin quand elle va se lever, ce ne sera sans doute pas la même chose vu ce qu'il est tombé pendant la nuit. Son copain a t'il seulement pu regagner la Dordogne hier soir ? Sinon quand ?

Bouh... j'aime pas j'aime pas j'aime pas les imprévus de ce type.

 

 

15/12/2009

Prime de Noël ou 13ème mois

Ma collègue bénéficie d'une prime en fin d'année, votée par délibération du Conseil Municipal. Elle compense les rab qu'elle fait parfois le midi au long de l'année.

Ma collègue travaille beaucoup, je veux dire intensément et est très compétente. On ne parle quand même là que de secrétariat de Mairie, hein.

Ma collègue est employée 15 h par semaine. Ce mois-ci, ma collègue a un bulletin de salaire qui affiche un net à payer de pratiquement 1 800 €. Et elle travaille 20 h par semaine dans une autre collectivité où elle perçoit, sans aucun doute, la même prime, calculée au prorata des heures.

Je n'ai pas son expérience, je n'ai pas ses compétences et je ne fais que 6h par semaine ici.

Les années précédentes, elle m'ajoutait quelques heures sur ce dernier bulletin de l'année. Cette année, par exemple, j'ai fait 38 heures en décembre, l'an dernier elle aurait arrondi à 50 h. Peut-être pour se donner bonne conscience.

Cette année je n'y ai même pas eu droit. Peut-être qu'elle a oublié, peut-être que je n'ai pas bien travaillé.

J'ai un peu les boules, quand même.

De quoi ? de sa paie ? de la mienne ? peut-être du décalage ?

10/12/2009

Lever du jour

 

Ce matin, dans mon jardin, en Périgord.

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Mes Peluches ont 3 mois et demi

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Ma crêche !! :-P
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La même, au repos...
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Non, il n'est pas mort, juste devant le radiateur... hummmm...

SDF, Chômeurs, Précaires : Catégories Classées “Non Prioritaires”

http://u.nu/4mq64

AgoraVox France 

 

Dans quelques semaines, et peut-être, va savoir, celle qui se radine, David Pujadas (ou tout autre personnage-tronc du 20 heures), mine de circonstance, ton compassé, nous parlera non pas des "pauvres", pas plus que des SDF (ou vite fait), mais des plus démunis.

 

C’est mignon, non, ce terme-là : les plus démunis ?
C’est abstrait. Presque poétique. Bref, c’est de la littérature (à la noix) de journaliste. Or, dans la réalité, celle des ponts et des bancs verrouillés, cadenassés, c’est une autre histoire, celle qu’on enseignera jamais en Terminale S pas plus qu’en Seconde L. Le mot “pauvre” n’est même plus une option, il est banni de notre vocabulaire. Celui du monde occidental. A ce point, que dans les JT, la presse et autres médias dits d’informations, quand on évoque l’Afrique, par exemple, elle est (re)qualifiée de continent “émergent”. Or donc, si je suis cette logique, que je la pousse jusqu’à son extrême absurdité, alors j’en viendrais à conclure que, au fond, les plus démunis ne seraient ni plus, ni moins, que des êtres “émergents”. Ah miracle de la rhétorique ! Ou comment, moins par synonymie que par terminologie issue du langage publicitaire, on en arrive à éradiquer la pauvreté. A la nier, surtout. Et si d’aucuns venaient à prétendre que traiter les pauvres de plus démunis n’étaient que pure délicatesse ou marque de tendresse, je les renvoie derechef au père Ferré qui dans Préface assénait :

On ne prend les mots qu’avec des gants : à "menstruel" on préfère "périodique", et l’on va répétant qu’il est des termes médicaux qui ne doivent pas sortir des laboratoires ou du Codex. Le snobisme scolaire qui consiste, en poésie, à n’employer que certains mots déterminés, à la priver de certains autres, qu’ils soient techniques, médicaux, populaires ou argotiques, me fait penser au prestige du rince-doigts et du baisemain. Ce n’est pas le rince-doigts qui fait les mains propres ni le baisemain qui fait la tendresse !”.

Oui, Ferré parle là de poésie, mais ne l’ai-je pas dit en ouverture, parler de plus démunis, c’est quoi, sinon une abstraction, de la mauvaise littérature, de la poésie dégueulasse, dégueulasse tant elle est mal placée et mal venue, qu’elle balaie la réalité et ceux qui la souffrent.

Dans quelques semaines, disais-je, et va savoir, peut-être la prochaine, on nous parlera au JT, celui de 20 heures, de Bernard. Un SDF, un plus démuni. On le présentera comme étant la première victime d’une vague de froid. Une vague de froid, “sans précédent”, car, tu l’auras noté, aujourd’hui, dans la bouche des journalistes, tout évènement est forcément “sans précédent’. Encore faut-il, bien entendu, que le froid survienne, sinon l’on ne nous parlera pas de Bernard. Pas de froid, pas de Bernard ! C’est comme ça ! C’est ce qu’on appelle la hiérarchie de l’information. Celle qui relègue, sur le service public, les nouveaux et terrifiants chiffres du chômage à ... 20h25 ! Une manifestation de policiers (phénomène très rare) et toujours sur le service public, à une image et trois mots. Ça peut paraître bizarre, mais c’est ainsi, à croire qu’il n’y a rien de plus important que cette future maman classée prioritaire pour le vaccin contre la grippe A, rien de plus important que de savoir qu’elle aura poireauté trois heures avant de se faire piquer dans un centre interdit aux médecins généralistes. Rien de plus important, également, que le premier chat de France touché par le H1N1 ! Bien plus, en tous les cas, que les chiffres croissants du chômage ou la mort d’un plus démuni. Qui l’est déjà.
Car oui, il est mort Bernard. Comme 319 de ses congénères depuis le début de l’année 2009. C’est une information communiquée ce lundi 7 décembre par le collectif des Morts de la rue. Relayée par France Info et quelques sites de presse en ligne (Le Parisien, l’Alsace, Le Progrès, Le Télégramme ..) trop souvent par le biais d’une dépêche laconique. Or, 320 morts en moins d’un an, ce n’est pas rien. Si j’osais, je dirais que ça fait froid dans le dos. Mais apparemment pas dans celui des rédacteurs des JT. Ni dans celui de la presse à grand tirage. Non, ce n’est pas une info prioritaire, attendons que viennent les premiers frimas, car c’est bien là, non, que l’on traite des plus démunis. Le faire ailleurs, c’est hors-sujet ou hors-champ. On va tout de même pas en faire la Une, pas avant l’heure, celle du marronnier.
320 morts dans la rue, et rien !
Il serait obscène, bien sûr, de les comparer aux 118 de la grippe A (chiffres du vendredi 4 décembre) la question n’est pas là. Comme il serait déplacé, sans doute, de rappeler une parole pré-présidentielle, celle qui promettait à qui voulait le croire, "que d’ici à deux ans" (donc maintenant), "plus personne" ne serait "obligé de dormir sur le trottoir et d’y mourir de froid". Simplement, je constate que le chômage, la précarité, la pauvreté, ne sont pas des priorités. Ni pour les journalistes, ni pour les politiques. Ces sujets sont évacués. Ou traités vite fait, donc maltraités. Pourquoi ? Telle est la question. Car, il doit bien y avoir une raison. Non ?
Formulée plus abruptement, la question pourrait être la suivante : pourquoi exclure de l’information, ceux qui sont déjà exclus, d’une certaine façon, de toute vie sociale ?

Quoi qu’il en soit, la semaine prochaine, ou celles qui ne manqueront pas de venir, quand l’homme-tronc revêtira son habit de chien battu pour nous annoncer la mort de Bernard, première victime du froid, nous pourrons lui demander pourquoi ne l’a-t-il pas annoncé avant ? Pourquoi ne nous aura-t-il pas informés des 320 décès “sans précédent” dans notre pays ? Au nom de quelle déontologie, de quelle sacro-sainte hiérarchie ?

Pour finir, et puisqu’il s’agit de priorités et de personnes prioritaires, voyant ces queues longues et frileuses de femmes enceintes attendant de se faire vacciner contre le H1N1, je me demandais si, dans sa grande mansuétude, madame Bachelot et son orchestre avaient jugé "bon" de classer prioritaires pour ledit vaccin les fameux plus démunis, ceux de la rue, à priori les plus exposés ; je me demandais, oui, s’ils y avaient pensé … Ou, si définitivement, ils n’étaient, comme les chômeurs et autres précaires, les “gens de la rue” classés : non prioritaires …

Philippe Sage

06/12/2009

Moi, j'aime pas Noël

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Mais bon, tant qu'il y a des enfants à la maison, il y a des incontournables...
Un sapin, un cadeau pour le petit, et un bon petit repas, même si ça, c'est pas un effort !! ;-)
Mon aversion pour Noël ne vient pas seulement de ce que l'on peut lire dans le texte précédemment publié, même si je m'y identifie de plus en plus fort.
D'ailleurs, cette année est particulière et va marquer un tournant.
Après le Noël 2008, j'ai dit "plus jamais ça". Mais je ne pensais pas que ça se serait ancré si profondément en moi.
C'était sans compter sur le craquage du début d'année, après le 1er de l'an et mon anniversaire. De grosses gouttes d'eau qui ont fait déborder un vase déjà plein depuis des années.
Aujourd'hui j'assume enfin et ça fait du bien. Je sais que je dirai non aux éventuelles invitations (j'ose encore espérer qu'il n'y en aura pas) et que j'en ai fini avec la culpabilité, même si c'est sans doute le plus difficile à se débarasser... même si c'est ce qui m'a gâché 2 décennies d'existance.
Tant de formatage depuis le plus jeune âge... Faire comme tout le monde à la même date, faire plaisir, ne pas vouloir blesser, rendre la pareille etc...
Mais c'est ter-mi-né.
Du coup, je n'appréhende plus cette soirée ici, avec mon Chéri et mes Enfants. Une bonne bouffe au menu de laquelle je songe déjà.
Ma soeur n'a pas du tout apprécié le texte sur le boycott de Noël, et c'est rien de le dire. Je l'ai envoyé par mail à mes contacts, en plus d'un partage sur FB, comme je fais lorsqu'une cause ou un sujet me parle.
Elle a réagi de manière très virulente et je la pense fâchée car je lui ai répondu et je n'ai pas eu d'autres nouvelles en retour. Je la crois surtout blessée car je suis certaine (mais je n'y avais pas songé avant l'envoi) qu'elle est en pleine confection de cartes de voeux, de décors, calendriers de l'avent, d'achats de cadeaux, bref comme bcp de gens sauf qu'elle peut passer des journées à ces bricolages manuels dont nous devions être avec d'autres les destinataires. Je pense que cela lui a foutu un coup au moral, parce qu'elle est persuadée de bien faire, que ça lui fait plaisir, qu'elle aime cette fête et ce d'autant plus qu'elle est à 5 000 km de sa famille et que c'est toujours un peu difficile. MAIS BON, je n'ai pas envoyé ce texte par provocation, je ne la visais pas, et je ne veux pas me sentir responsable des effets produits par mes convictions, d'autant plus qu'elle a toujours su que je n'aimais pas Noël, ce qui ne l'a jamais empêchée de faire "comme ci" et de continuer à enfoncer le clou, toujours pensant bien faire, alors... comme je l'ai écrit plus haut, j'assume.
Ce texte n'est pas de moi ; si je l'avais écrit il n'aurait sans doute pas été aussi "extrême" sur le fond et même sur la forme, mais globalement, j'adhère. C'est ce que je lui ai écrit. Et j'aurais dû ajouter que mon opinion et mon ressentis sont tout aussi respectables et que j'ai tout à fait le droit de les exprimer. Mais je me suis contentée d'expliquer de manière tout à fait dépassionnée ma position.
Coïncidence, j'ai trouvé sa réponse après une journée en ville (ophtalmo, opticien, banque, courses... que du bonheur ;-)). J'avais terminé par un tour dans deux magasins de jouets, pour mon P'tit Bonhomme justement. J'en étais ressortie sans rien acheter tellement je me sentais mal au milieu de ces rayons envahis de chariots dégueulant de jouets, les longues files d'attente à la caisse, les gens dont à voir leur tête tu te demandes s'ils sont contents d'être là, tu sens la corvée à plein nez (bon ok "corvée" pas pour tous mais en tous les cas l'obligation d'en passer par là et ça, personne ne peut dire le contraire !). Du coup j'en étais rentrée plus tôt que prévu et j'avais compris qu'une page était bel et bien tournée.

04/12/2009

La Folie de Noël

""Vous savez tous que le magasinage du temps des Fêtes est une activité déplaisante et source de gaspillage, et que les « listes et échanges de cadeaux » de Noël dénaturent le vrai sens du don. Vous savez également que la commercialisation de Noël est une escroquerie qui profite aux fabricants, magasins et grandes entreprises, et qui pousse monsieur-madame-tout-le-monde dans le gouffre de l’endettement. Et vous savez sans doute que cette frénésie de consommation annuelle cause des ravages à notre environnement, les sites d’enfouissement de déchets se remplissant de tous ces matériaux d’emballage inutiles et cadeaux non désirés qui sont jetés à la poubelle.

Pourtant, chaque année, nous cédons à la tentation et allons magasiner. Le bombardement impitoyable des annonces publicitaires exerce une pression constante sur nous. Tout comme le font ces troupeaux de magasiniers qui bêlent à l’unisson et vous traitent de « Grincheux » si vous manquez de vous joindre avec enthousiasme à leur orgie rituelle de consommation. Vos amis et votre famille vous harcèlent avec leurs demandes de cadeaux, les vitrines des magasins vous séduisent avec leurs paquets aux couleurs étincelantes, et tous les hauts-parleurs de la ville font jouer à répétition les mêmes "classiques" de Noël.

Alors que pouvez-vous faire pour résister ? Joignez-vous au Mouvement Anti-Noël ! De plus en plus de gens se joignent au MOUVEMENT ANTI-NOËL pour résister en solidarité à la saison du magasinage. Pour chaque 100 automates qui vous traitent de « Grincheux », il y a quelqu’un QUI RÉSISTE JOYEUSEMENT À NOËL et qui VOUS appuie dans votre choix de NE PAS VOUS LAISSER ACHETER PAR L’HYSTÉRIE DES FÊTES.

Ensemble, nous boycottons la magasinage du temps des Fêtes, les décorations et cartes de Noël, ainsi que toute cette folie qui entoure la fête de Noël. Nous refusons de donner notre appui à l’industrie des Fêtes. Nous démontrons à nos parents et amis que nous les aimons en leur donnant de notre temps et de notre affection plutôt qu’en leur achetant des biens de consommation. Ainsi, nous conservons l’intégrité du don en donnant seulement de manière spontanée et avec notre coeur, plutôt que durant une période spécifique de l’année.

Conseils pour résister à la folie de Noël

Dites poliment mais fermement à vos parents et amis que vous n’achèterez pas de cadeaux de Noël cette année. S’ils vous achalent plus tard, rafraichissez leur mémoire concernant votre position et n’en démordez pas.

Si quelqu’un vous offre un cadeau, informez la personne que vous ne lui achèterez rien en retour. Si elle insiste, acceptez le cadeau et remerciez-la pour sa générosité. Il y a de très fortes chances qu’elle ne vous achètera rien l’an prochain.

Lorsque vous êtes sur le point de céder à la tentation, souvenez vous de la Terre. Imaginez votre achat éventuel qui dépérit dans un site d’enfouissement.

Donnez des cadeaux durant le reste de l’année lorsque vous en avez envie. Vos élans de gentillesse et de générosité pourront servir d’exemple et détruire petit à petit le stéréotype de « Grincheux » que doivent porter ces personnes consciencieuses qui résistent à la folie de Noël. Avant Noël, envoyez à vos parents et amis une carte de Noël leur souhaitant de bons moments et leur expliquant pourquoi vous résistez au consumérisme du temps des Fêtes. Ainsi, vous allez peut-être réduire le nombre de gens qui pensaient que vous les avez oubliés, tout en sensibilisant votre entourage à l’idée de boycotter ""
 
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