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01/03/2008

Sur le fil, toujours

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Le temps de rien, même pas celui de dormir assez.
Plus de vie sociale, de loisirs, de sorties.
Mes boulots dans lesquels je vois beaucoup de monde compensent un peu.
Mais ce n'est pas pareil.
Façon j'ai pas le choix. Trop fatiguée.
Pas assez à la maison.
Alors quand un week-end d'un jour et demi où (presque) rien n'est prévu se profile, ça confine au bonheur.
Essayer de ne pas trop forcer sur les tâches à rattraper.
S'accorder un peu de repos, s'occuper des enfants.
Et penser un peu à soi. Lire, par exemple, si possible.
Mais je ne me plains pas. J'assume, j'avance.
Et je pense à toi.
Et là... la dure semaine qui vient de s'écouler, le fragile équilibre physique et nerveux qui a basculé plus d'une fois, tout cela s'envole.
Tu es là.
Tel un ange gardien.
La meilleure des énergies renouvelables, selon mon expression favorite.

"Merci"


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